RecordDetails
Arles : P. Picquier, 2005.
179 p.

En août 1910, Sôseki perd momentanément conscience après une intervention chirurgicale. Peu après, il peut reprendre son journal dans lequel il note les évolutions de son état ainsi que ses réflexions. La joie intense d'avoir échappé à la mort lui donne le désir d'écrire. Il se remet aussi à la composition de poèmes chinois. Ainsi est né ce livre qui mêle réflexions, notes et poèmes.